1977 – 1ére visite de BKS Iyengar dans notre région

A cette époque, c’est Marie-Antoinette Bourdin qui enseigne la méthode Iyengar sur Tours. Elle est en relation avec Guruji depuis 1971, et a participé à de nombreux stages sous sa direction. Elle a passé 7 semaines à l’Institut de Pune au moment où Guruji écrivait « Lumière sur le Pranayama ». En 1977 donc, Guruji souhaite visiter les bords de Loire et quelques châteaux. Un groupe de parisiens, avec Noëlle Pérez, organise une journée en Touraine, avec visite du Clos-Lucé, où Guruji s’émerveille devant les créations de Léonard de Vinci, et du Château de Chenonceaux. Puis retour dans la salle de yoga de Madame Shertz où des élèves de la région se retrouvent pour une causerie très chaleureuse et constructive avec Guruji, et pour une « séance d’autographes » de son premier ouvrage « Light on Yoga ».

1986 – (Avril) – deuxième visite de Guruji à Tours 1977 – 1ére visite de BKS Iyengar dans notre région

Cette fois il reste une semaine parmi nous. Une semaine très riche puisqu’il enseigne dans une salle du Sanitas à 90 personnes venues de toute la France. Il rend aussi visite à la salle de Yoga rue Fleming, partage un repas avec une cinquantaine d’élèves, et fait une conférence à environ 200 personnes sur le Yoga et son enseignement à l’Hôtel de Ville de Tours.

1987 – Venue de Savita

La plus jeune fille de BKS Iyengar, Savita,  vient elle aussi à Tours pendant trois jours, sans doute son père lui aura-t-il vanté les beautés de la Touraine…

2002 – Convention à Tours

La 7ème Convention française du yoga Iyengar à Tours. Geeta en est l’invitée d’honneur. Elle participe à de nombreuses manifestations de yoga en Europe, au cours d’un périple qu’elle effectue d’avril à mai 2002. Sa visite à Tours est l’avant dernière étape de son tour d’Europe. Chacun a pu apprécier ses exceptionnelles qualités pédagogiques et la profondeur de sa générosité. A Tours, elle a été très intéressée par la visite du musée du Compagnonnage qui présente les métiers traditionnels liés à l’artisanat et par le prieuré Saint Côme, si fleuri en cette période de l’année.